Qu’il me soit permis d’achever cette courte série d’articles par la narration de mon unique expérience de frondeur étudiant. Au delà d’un éventuel nombrilisme de l'exercice, ce récit donne un malheureux exemple de plus de l’inconsistance et de la morale sujette à question d'un bon bon nombre de leaders étudiants camerounais. Les événements narrés se déroulèrent à l'université de Douala en 2007, alors que j'étais sur le point d'achever mes études à l'institut universitaire de technologie.